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Communiqué de presse – Solidarité avec Kobanê

Depuis le 15 septembre, l’Etat islamique lance des offensives contre le canton de Kobanê, au Kurdistan de Syrie, utilisant des armes lourdes saisies en Irak et en Syrie, et avec un soutien stratégique de la Turquie. Depuis près d’un mois, les forces d’autodéfense kurdes résistent avec acharnement mais n’ont pas suffisamment d’armes pour freiner l’avancée de l’organisation bien supérieurement armée. L’EI, après avoir été longtemps repoussé, est maintenant dans Kobanê.

Depuis l’invasion de l’EI, des dizaines de milliers de civils contraints de fuir se sont amassés le long de la frontière entre la Turquie et la Syrie, et sont piégés entre les djihadistes et l’armée turque. La Turquie n’a consenti que ces derniers jours a laisser passer les kurdes à la frontière. Par ailleurs, en Turquie, les autorités répriment violemment toutes les manifestations de solidarité avec Kobanê (40 morts au cours des manifestations ces deux dernières semaines).

Ce contexte violent menace la fragile stabilité établie en Turquie, considérée comme responsable de la mort de milliers de kurdes par sa non-intervention : le processus de paix engagé entre le PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan) et le gouvernement turc est gravement remis en question. Ce 14 octobre, le gouvernement turc a proposé de nouvelles lois sécuritaires, autorisant la police à tirer sans sommation sur les manifestants dès le premier cocktail Molotov lancé. Le même jour, l’aviation turque a bombardé plusieurs positions du PKK, dans le Sud-Est de la Turquie. Dans le même secteur, des hélicoptères de l’armée ont ouvert le feu sur d’autres combattants du PKK.

La communauté internationale ne réagit pas aux appels de soutien et aux alertes de massacres lancés par les Kurdes. La Turquie a cependant promis des renforts cette semaine mais des bombardements de combattants djihadistes près de la frontière démontrent leur intention de ralentir tout acheminement d’aide militaire ou humanitaire.

Les Kurdes poursuivent leur résistance contre l’EI, déterminés à chasser les djihadistes de Kobanê. En luttant contre ces attaques, ils défendent les valeurs universelles de la dignité humaine et de la démocratie.

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Nous demandons de la part de la France un réel soutien aux populations kurdes.

Nous demandons que les réfugiés kurdes puissent bénéficier de leurs droits.

Nous demandons la sanction des États comme la Turquie, complices des terroristes Islamistes.

Un rendez-vous “Solidarité avec Kobanê”, sous forme de point d’information, se tiendra place Jean Jaurès le 31 octobre à 18h à Saint Etienne, la veille de la Toussaint, déclarée journée mondiale de solidarité.

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Rendez-vous le 11 Octobre!

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Les Jeunes Communistes de la Loire ont le plaisir de vous inviter à l’inauguration de leur local
Samedi 11 Octobre
au 3 rue Brossard à Saint-Étienne

Au programme de cette journée :

À 14h – Formation sur le fonctionnement démocratique de notre organisation, les gestes et les pratiques militantes.

L’objectif sera de revenir sur la construction démocratique de notre organisation, du principe de centralisme démocratique à l’application dans les faits.

 À 16h – Formation sur les moyens de défense des salariés en cas de conflit avec leur hiérarchie. Démarches et réflexes. Rencontre avec des syndicalistes CGT.

Les jeunes et moins jeunes se retrouvent de plus en plus souvent devant des situations extrêmement délicates au travail. D’abord parce qu’ils sont confrontés à un environnement de travail souvent difficile avec une activité à risques mais également parce que le respect des conditions de travail n’est plus assuré par la hiérarchie. Des solutions existent pour se protéger de situations dangereuses et irrespectueuses du Code du travail. Des conseillers juridiques de la CGT seront présents pour expliquer les droits de chaque salarié ainsi que les démarches et recours possibles. Un temps d’échange sera réservé aux questions pratiques individuelles.

 A 19h – INAUGURATION, avec un mot du secrétaire fédéral des Jeunes Communistes ligériens, puis nous partagerons un moment convivial et fraternel autour d’un buffet.

 Venez nombreux!

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Les 12, 13 et 14 Septembre: tous à la Fête de l’Humanité!

fete-de-lhumaPour venir à la Fête en partant de Saint-Étienne, deux départs:

  • Vendredi 12 sept à 4h d’Andrézieux puis 5h Place Bellevue
  • Samedi 13 Septembre à 1h Place Bellevue (nuit de vendredi à samedi)

Retour dimanche 14 sept départ 19h de la Fête

Le trajet en bus+ la vignette + le camping = 100 euros (une caisse de solidarité se met en place, elle sera répartie entre tous et fera baisser légèrement les frais)

POUR S’INSCRIRE: 06,59,01,43,40

Premier rendez-vous culturel et politique de la rentrée, la Fête de l’Huma est encore cette année à ne pas manquer. Sur scène on trouvera Scorpions, Massive Attack, IAM, Bernard Lavilliers, Kery James, Alpha Blondy, Ayo… et plein d’autres encore! Dans les stands, une multitude de débats, mais aussi un grand village du Monde, un village du Livre, un village du Sport… Et surtout, un esprit de fraternité et de lutte! Finalement, la fête de l’Huma’ nous fait dire que la rentrée c’est pas si mal… et qu’on continuera de se battre malgré les mauvais coup du Capital! C’est aussi une façon de soutenir le journal l’Humanité pour que continue d’exister une presse alternative à la presse bourgeoise et une information de qualité.

Voir le programme de l’Espace Rhône-Alpes (avenue Karl Marx) ci dessous:
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Nous portons plainte pour injure contre le Maire de Saint-Etienne!

Texte adopté en Assemblée GénéraleFaucille_marteau_JC

Samedi 5 juillet , lors de la commémoration du centenaire de l’assassinat de Jean Jaurès, Gaël Perdriau, maire de Saint-Étienne, s’est exprimé en ces termes à propos de militants de la Jeunesse Communiste de la Loire : « ce sont des fascistes, ce sont des anarchistes, ils ont un drapeau anarchiste ». M. Perdriau réagissait à la présence d’un drapeau rouge porté par une dizaine de jeunes communistes. Il ne doit pas connaître cette photographie prise au Pré-Saint-Gervais en 1913, lors d’un discours pacifiste, où Jaurès s’est fait immortaliser devant un drapeau rouge. Ce drapeau rouge est le symbole de l’unité du peuple français contre l’oppression, de la fondation de la République et il constitue ainsi l’une des trois couleurs du drapeau national. C’est pour poursuivre cet idéal de la gauche révolutionnaire que nos camarades arboraient ce jour-là ce même drapeau. En assimilant celui-ci à un symbole anarchiste, M. Perdriau chercherait-il à faire oublier le sens réel de cette mémoire ? Pire que cela, il crée des amalgames en faisant des affiliations politiques honteuses : nos camarades avec un drapeau rouge seraient non seulement anarchistes mais aussi fascistes !

Deux jours plus tard lors du conseil municipal du lundi 7 juillet, Maryse Bianchin, élue PCF, interpella le maire afin qu’il retire ses propos insultants. M. Perdriau précisa alors le fond de sa pensée : selon lui, le communisme s’apparente au nazisme, voilà pourquoi il nous avait qualifié de fascistes lors de la commémoration du 5 Juillet.

Nous Jeunes Communistes de la Loire, déplorons ces attaques verbales envers nos camarades présents ce jour-là et par là même, envers l’ensemble de notre organisation. Depuis toujours, les jeunes communistes ont prolongé le combat jaurésien pour la paix et la liberté : pour la libération de Mandela et contre le régime d’Apartheid, la Résistance anticolonialiste en Algérie, la paix en Palestine, etc. Cette année 2014, notre organisation était à l’initiative d’une semaine de la pensée marxiste consacrée à la figure de Jean Jaurès ainsi que d’un tournoi de football en faveur de la Palestine. Si nous saluons la tenue de cérémonies en la mémoire de Jaurès, notre adhésion à ses thèses ne se restreint donc pas à faire acte de présence lors des commémorations. Nos camarades sont à leur place dans de tels rassemblements, les qualifier ce jour-là de fascistes est ainsi vraiment déplacé et absurde, qui plus est dans la bouche d’un élu de la République.

De plus, l’Histoire de Saint-Étienne s’est en partie écrite avec le sang des communistes de la Loire. Ici, les communistes furent nombreux à prendre le maquis ( Haute-Loire, Pilat, monts du Forez, etc.) et à entrer en Résistance contre le régime de Vichy allié à l’Allemagne nazie. Ils furent nombreux à ne jamais revenir. Parmi ces grands noms de la Résistance locale, il y a Théo Vial-Massat, Baptiste Beaulaigue, Serge Veyssière, Camille Pradet, Denise Bastide ou Joseph Sanguedolce, un des prédécesseurs de M. Perdriau à la mairie. Ces résistants étaient tous des communistes dont l’engagement contre le fascisme, pour la liberté et la République française devrait inspirer d’avantage de respect à l’actuel maire de Saint-Étienne.

En assimilant communisme et nazisme, M. Perdriau souhaite faire disparaître une double mémoire. Celle de la gauche révolutionnaire, de son combat historique pour la paix, la justice sociale, contre le fascisme et l’impérialisme, et celle de la droite libérale et conservatrice, dominée par la défense des intérêts de la haute bourgeoisie et du système capitaliste, proche dans les valeurs mais aussi dans les actes et les alliances politiques avec l’extrême-droite.

Monsieur Perdriau sait bien que nous ne sommes pas des fascistes mais dire cela lui permet de détourner la réalité historique selon ses intérêts politiques, en attribuant les pires atrocités de l’Histoire à ceux qui les ont combattus et qui étaient souvent bien seuls dans leur lutte.

Ils étaient antifascistes, nous le sommes. Ils étaient communistes, nous le sommes. Ils portaient le drapeau rouge, nous le portons et le porterons toujours.

En définitive, M. le maire de Saint-Étienne cherche à jeter le discrédit sur notre idéologie politique : le marxisme. Il jette par la même le discrédit sur l’œuvre et l’action du grand tribun qu’était Jean Jaurès, l’un des plus grands représentants du marxisme en France. Souvenons-nous que de son vivant, Jaurès a été conspué et insulté par la droite française au nom de l’Union Sacrée. Elle continue de le faire aujourd’hui en dépolitisant son combat.

Si, finalement, c’est notre esprit révolutionnaire que M. Perdriau ne supporte pas, comment pouvait-il rendre hommage à Jean Jaurès qui était comme nous, un révolutionnaire ?

Vive le Socialisme !

Hommage à Jean Jaurès !

Nous continuons son combat.

Publié par Jeunes Communistes de la Loire dans Contacts presse/radio

Transport, Culture, Emploi : des combats qui concernent les jeunes !

Communiqué du Mouvement Jeunes Communistes de France:

Toute l’année, les jeunes font face aux difficultés pour se déplacer ou pouvoir accéder aux espaces culturels. Dans le contexte de crise, notre génération subit des décennies de politique de dégradation, de casse des services publics. C’est sans parler de l’emploi puisque tout est fait pour nous promettre l’enfer dans le monde du travail et dès notre formation !

C’est pour cette raison que les jeunes communistes mènent un certain nombre de combats et se retrouvent dans ceux menés actuellement. Ce n’est pas par compassion que nous exprimons notre soutien aux luttes en cours mais parce que notre génération a soif de dignité !

Les jeunes communistes œuvrent sur les territoires pour des transports publics et gratuits de qualité pour rendre chaque jeune libre de ses déplacements. C’est un enjeu d’égalité et d’accès aux droits les plus fondamentaux (éducation, culture, vacances). De Rennes à Nice en passant par Le Havre ou encore Bordeaux, nous exigeons un meilleur réseau de transports en termes de tarification, de fréquence, de desserte.

Toute l’année nous exigeons une culture pour tous, réellement démocratisée. La culture est un droit qui fait partie de la construction sociale de notre jeunesse et personne ne doit en être privé ! Nous sommes ainsi porteurs de pratiques culturelles fortes et encore une fois dans les mobilisations pour un réel accès à la culture des jeunes.

Enfin, face au chômage qui broie notre génération, nous portons tout au long de nos combats, tous les jours l’exigence d’un travail pour tous, avec des droits et un salaire digne pour nos vies reconnaissant nos qualifications et nos aspirations. Nous sommes aux côtés des jeunes pour la reconnaissance de nos droits au travail, à la formation.

Aujourd’hui, de  grands mouvements sociaux d’ampleur nationale défendent les aspirations des jeunes en matière de transport et de culture.

Les cheminots se battent contre la privatisation de la SNCF, la mise en concurrence et contre les gâchis organisés par la direction de la SNCF. Par leur grève, par leur lutte, c’est le service public des transports pour tous qu’ils défendent.

Contrairement à ce qui est régulièrement affirmé le projet porté par le gouvernement ne vise pas à réduire la dette de l’entreprise mais à préparer le terrain pour la mise en concurrence de la SNCF exigée par l’Union européenne et soutenue par l’UMP et le PS. Or dans tous les pays du monde où les transports ferroviaires ont été privatisés les prix des billets ont augmenté et les accidents se sont multipliés. Les jeunes y ont toutes leur place en raison de leur combat pour les transports publics et gratuits. Les ambitions d’une industrie ferroviaire publique nécessitera l’implication de notre génération pour développer les besoins de mobilité et énergétiques de demain.

Les intermittents sont des artistes et des techniciens qui rendent possible notre découverte de la culture, qui font vivre les festivals. Ils bénéficient d’un régime d’assurance chômage particulier calqué sur leur manière de travailler à des rythmes qui changent beaucoup. S’attaquer au statut des intermittents, c’est mettre en danger la culture populaire, c’est porter une vision élitiste de la culture et surtout ne faire vivre que les grandes productions. Pour gagner le droit pour tous à la culture, pour permettre aux classes populaires, aux jeunes des quartiers de bénéficier d’un accès libre au théâtre, aux concerts, il faut soutenir le combat des intermittents d’autant plus que les jeunes travailleurs de la culture sont nombreux et sont de moteurs de la vie culturelle française.

Dans l’industrie et les services, dans de nombreuses usines comme Seita ou Alsthom les salariés se mobilisent et parfois avec succès comme à Fralib ou à Seneval. Parfois dans des conflits très durs, les grèves se multiplient sur le territoire chez les salariés du pays. encore une fois, ces combats concernent les jeunes car ils montrent que les solutions d’avenir sont portés par les salariés qui construisent des projets alternatifs aux destructions d’emploi des actionnaires. L’avenir de ces industries, de ces emplois passe également par la formation et la transformation de l’outil industriel aux enjeux écologiques du XXIè siècle.

Personne ne fait la grève par plaisir. Les salariés perdent un jour de salaire par jour de grève qui est un droit constitutionnel. La tentative du gouvernement d’opposer cheminots grévistes et lycéens, intermittents et spectateurs, salariés grévistes et compétitivité de la France ne marche pas car elle est fausse. Alors que les vacances approchent, rappelons qu’une majorité de jeunes ne se rendra pas en vacances faute de moyens : faute de conditions de vie dignes, faute de transport trop chers, faute d’une culture trop élitiste.

Les cheminots, les intermittents, les salariés tracent par leurs luttes et leurs revendications les contours de la France de demain, d’une société où la richesse produite appartient aux travailleurs, où ceux qui travaillent décident de l’organisation de leurs entreprises.

Par leurs luttent, ils permettent d’avancer dans la satisfaction des revendications de la jeunesse pour la liberté de travailler, de se déplacer et de se cultiver.

Lorsque les travailleurs se battent, c’est notre avenir qu’ils défendent!
Soutien inconditionnel aux cheminots, aux intermittents et travailleurs en lutte de la Loire!

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Publié par Union des Étudiants Communistes de Saint-Étienne dans Non classé

Soirée du Peuple: Projection #21: Valse avec Bachir

Chers camarades et ami(e)s,
L’Union des Étudiants Communistes de Saint-Étienne vous invite:
Jeudi 28 mai 2014 à 20H
A sa prochaine Soirée du Peuple

Dans les locaux de la Fédération de La Loire du PCF au 51 Ter Rue Robespierre, 42000 Saint-Étienne

Au programme:
Projection du film Valse avec Bachir, suivie d’un débat puis d’une soirée festive avec vente de sandwichs et boissons.

Le film Valse avec Bachir est un dessin animé documentaire retraçant la quête du réalisateur à la recherche de sa mémoire des massacres de 1982 dans les camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila à Beyrouth, orchestrée par l’armée israélienne durant la guerre du Liban.

Cliquer ici pour s’inscrire à l’évènement Facebook

La bande-annonce:

 

“Un soir, dans un bar, un vieil ami raconte au réalisateur, Ari Folman, un rêve récurrent qui vient hanter toutes ses nuits et dans lequel il est poursuivi par 26 chiens féroces. Toutes les nuits, le même nombre de chiens. Les deux hommes en concluent qu’il y a certainement un lien avec leur expérience commune dans l’armée israélienne lors de la première guerre du Liban, au début des années 80.
Ari est surpris de n’avoir plus aucun souvenir de cette période. Intrigué, il décide de partir à la rencontre de ses anciens camarades de guerre maintenant éparpillés dans le monde entier. Afin de découvrir la vérité sur cette période et sur lui-même. Au fur et à mesure de ses rencontres, Ari plonge alors dans le mystère et sa mémoire commence à être parasitée par des images de plus en plus surréalistes…”

Venez nombreux et n’hésitez pas à partager l’information autour de vous!

Publié par Union des Étudiants Communistes de Saint-Étienne dans Non classé

Démystifier et contrer l’extrême droite!

Dimanche 27 avril, Jean-Marie Le Pen vient à Saint-Étienne.
Celui qui a été condamné pour avoir qualifié les camps nazis de “détail de l’Histoire” choisit le jour de la commémoration officielle de la Déportation pour venir lancer la campagne des élections européennes de son parti dans la Loire. C’est insupportable.

Nous ne laisserons pas le champ libre au Président “d’honneur” du Front National.
Nous ne laisserons pas le champ libre à l’extrême-droite.

Fondamentalement, l’extrême-droite représente le refus de l’égalité sociale.
Leur vision de la société, violemment réactionnaire, est celle d’un “ordre social naturel” qui prône le refus de l’égalité des droits entre travailleurs en fonction de leur nationalité, le refus de l’égalité entre les hommes et les femmes, le refus de l’égalité des citoyens en fonction de leurs convictions, le refus de l’égalité en fonction de leur orientation sexuelle.

Parce que l’extrême-droite ne pose pas de bonnes questions, elle ne peut absolument pas apporter de réponses aux préoccupations de la population.

Son discours de division vise à affaiblir toujours plus le monde du travail pour lier les pieds et les mains des salariés au patronat.

Nous appelons à démystifier l’extrême-droite et son opération de dédiabolisation.
Nous appelons à combattre son dangereux projet de régression sociale, économique, culturelle, démocratique.
Nous appelons à construire des mobilisations pour l’égalité des droits pour l’emploi, les salaires, les retraites, les services publics, les droits de la jeunesse.
C’est l’austérité qu’il faut dénoncer. Ce sont les banquiers qu’il faut sanctionner.
Ne laissons pas l’extrême-droite détourner la colère populaire contre des boucs-émissaires.

Unissons nous pour la justice et le progrès social.

MANIFESTONS samedi 26 Avril à 14h30 depuis la Bourse du Travail de Saint-Étienne avec toutes celles et ceux qui veulent contrer l’extrême-droite.

 

Organisations signataires au 25 avril:
Association nationale des élus communistes et républicains, Fédération de la Loire du Parti Communiste Français, Fédération de la Loire du Mouvement des Jeunes Communistes de France, Union des Étudiants Communistes de Saint-Étienne, Union Départementale CGT 42, Front de Gauche Loire, PG 42, Ensemble!, NPA Loire, SOS Racisme Loire, FSU42, Sud Éducation Loire.

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Publié par Union des Étudiants Communistes de Saint-Étienne dans Non classé