Loire

Discours de la JC42 au meeting des candidats LES MAUVAIS JOURS FINIRONT aux élections législatives 2017

Discours de la JC42 au meeting des candidats LES MAUVAIS JOURS FINIRONT aux élections législatives 2017

Le Jeudi 26 janvier se tenait le meeting de présentation de Lucas WINIARSKI, avec sa suppléante Hélène VIALLETON, et de Vanessa PECEL, avec son suppléant Yanis PARASKEVAIDIS, candidats sur les 1ère et 2ème circonscriptions de la Loire aux élections législatives 2017 pour la liste intitulée: LES MAUVAIS JOURS FINIRONT.
(Plus d’informations ici: http://lesmauvaisjoursfiniront.fr/)

A cette occasion, la Jeunesse Communiste de la Loire était représentée et a tenu un discours que vous pouvez retrouver ci-dessous:

“Chers camarades, depuis bien longtemps la Jeunesse Communiste milite activement sur le territoire stéphanois. Nous avons toujours jugé la lutte sur le terrain comme étant plus importante que toute échéance électorale, mais la situation actuelle n’a fait que renforcer le besoin de transgression du système dans lequel nous vivons et il nous apparaît aujourd’hui comme primordial de pouvoir créer un rapport de force suffisant pour pouvoir porter un projet d’alternative au système capitaliste. C’est dans cette logique que nous avons décidé de nous engager aux cotés des candidats des « Mauvais jours finiront » et de franchir un pas que nous n’avions auparavant jamais franchis.

En effet, les dynamiques mises en places ces dernières années nous ont permis de créer des liens et un réseau que nous jugeons important, pour l’avenir des Ligériens que nous sommes. Les récentes mobilisations contre la Loi Travail ont encore plus démontré l’importance du travail militant avec des forces progressistes locales. La JC étant un élément important de ce réseau tissé sur l’ensemble du territoire stéphanois, il nous apparaissait comme nécessaire de pouvoir porter notre expression dans les débats des élections.

Les mots d’ordre de cette campagne et les propositions amenées par les candidats sont pour nous lourds de sens et de pertinence.

Que cela au soit au niveau de l’engagement dans les nationalisations démocratiques que nous jugeons comme étant un mot d’ordre fondamental. Le chômage et la précarité étant toujours au plus haut, des pans entiers de notre savoir-faire et de notre histoire ouvrière se perdent au fil des licenciements et des délocalisations. Il devient vital de reprendre la main sur nos entreprises. Non seulement de sauvegarder des secteurs qui existent encore tant bien que mal, mais surtout de pouvoir réinvestir dans les industries, de développer des emplois et de garantir des services publics et des entreprises publiques de qualité.

Ensuite, dans la lutte contre le racisme avec le rejet de la haine et l’intention de montrer que la Loire est une terre d’accueil cosmopolite prolétaire et de partage où les habitants savent rester unis face aux idées racistes et réactionnaires.

Et enfin sur la lutte contre la pression perpétuelle systématique exercée sur les quartiers populaires, qui conduit à la révolte, et à sa répression. Une lutte que nous avons décidé de mettre particulièrement en avant dans notre campagne à la JC et qui coïncide avec les propositions avancées par le rassemblement anticapitaliste qu’incarne « Les Mauvais Jours Finiront » .

Pour nous ces candidatures vont de manière concrète dans le sens des luttes et des aspirations révolutionnaires que porte la Jeunesse Communiste de la Loire depuis son existence.

C’est pour cela que nous Jeunes Communistes de la Loire apportons notre soutien indéfectible à la campagne « Les Mauvais Jours Finiront »”

Publié par Jeunes Communistes de la Loire dans Communiqués
À Saint-Étienne, la CGT dénonce un «procès politique» (Article de l’Humanité)

À Saint-Étienne, la CGT dénonce un «procès politique» (Article de l’Humanité)

Nous reproduisons ici un article de Loan Nguyen, publié le dimanche 24 juillet sur le site humanite.fr :

“Le Procureur de la République a décidé de faire appel de la relaxe de trois militants CGT, qui étaient poursuivis pour avoir accroché sur la permanence d’un député PS une banderole lui reprochant d’avoir soutenu la loi Travail.

L’accrochage de banderole à une permanence PS vaut-il bien deux procès ? Après avoir été relaxés en première instance le 13 juillet par le tribunal correctionnel de Saint-Étienne, trois jeunes militants CGT devraient être poursuivis en appel à l’initiative du Procureur de la République pour s’être introduits par effraction dans le local du député socialiste Jean-Louis Gagnaire et pour des violences contre des agents de police à l’occasion d’une manifestation contre la loi Travail le 12 mai dernier à Saint-Étienne. Des chefs d’accusation que réfutent Nina, 24 ans, Jules, 25 ans et Yvan, 29 ans, respectivement serveuse, assistant de vie scolaire et musicien en recherche d’emploi. « La porte d’entrée de l’immeuble n’était pas fermée. Même la police n’a pas relevé de traces d’effraction sur la porte de la permanence », rappelle Maître Karine Thiébault, l’une des avocates des trois militants syndicaux. Concernant l’accusation de violences contre les forces de l’ordre, Maître Thiébault relève que les policiers qui avaient porté plainte auraient refusé la procédure dite de confrontation face aux militants, « alors que cela aurait pu permettre que chacun s’explique. C’est une atteinte au droit à un procès équitable ». Enfin, l’avocate souligne qu’en dépit des réquisitions, « la vidéo de surveillance de la permanence effectuée par Securitas n’a pas été jointe au dossier », ce qui implique que rien d’incriminant n’y a été trouvé concernant ses clients.
« Ils sont simplement rentrés dans la permanence pour afficher au balcon une banderole qui reprochait au député d’avoir soutenu la loi Travail », témoigne Jean-Michel Gourgaud, secrétaire général de l’union départementale CGT de la Loire, à qui cet acharnement du ministère public rappelle les combats pour les Manufrance et les cinq de Roanne. Pour la CGT, il s’agit clairement d’un « procès politique ». « Dans un contexte où les Français sont encore fortement opposés à la loi, ce genre de manœuvres ne va pas apaiser les choses », prévient Jean-Michel Gourgaud. « Ils sont rentrés sans dégradation ni violence », confirme Martin Pontier, secrétaire fédéral du Mouvement jeunes communistes de la Loire qui était présent en bas de l’immeuble ce jour-là, et qui est lui-même poursuivi pour violences dans une procédure distincte. Le jeune homme accuse à l’inverse la police d’avoir fait usage d’une répression excessive. « On a été chargé sans sommation, les militants interpellés ont été mis en joue et plaqués au sol. Je n’ai fait que repousser les boucliers des policiers, je me suis pris un gros coup sur la tête. Et on m’accuse d’avoir blessé à moi seul sept policiers ! », s’indigne-t-il.
Du côté du parlementaire PS – qui s’est notamment illustré ces derniers mois pour avoir reproché aux frondeurs socialistes d’avoir « un problème mental » – on a annoncé se porter à nouveau partie civile par le biais de la presse locale. En première instance, Jean-Louis Gagnaire demandait 698 euros de dédommagement au titre de la réparation de la porte de sa permanence et un euro symbolique. Les policiers blessés réclamaient des indemnités allant de 1500 à 2000 euros chacun. Le procureur avait lui requis 4 mois de prison avec sursis, 500 euros d’amendes pour Yvan et Nina, 12 mois de prison avec sursis, 600 euros d’amendes, et 5 ans d’interdiction d’exercer dans la fonction publique pour Jules. Pour Martin Pontier, le Parquet a requis 18 mois de prison dont 3 mois fermes, 5 ans d’interdiction d’exercer dans la fonction publique et 9000 euros d’indemnités à verser aux policiers. Dans ce dernier cas, le délibéré est fixé au 6 septembre. Une nouvelle occasion de se mobiliser pour les opposants à la loi Travail, avant même le rendez-vous national du 15 septembre.

Une pétition, lancée en soutien aux trois militants a déjà recueilli près de 6000 signatures. https://www.change.org/p/cgt-precaires-saint-etienne-non-au-proc%C3%A8s-politique-soutien-aux-jeunes-de-saint-%C3%A9tienne/u/17356385

 

L’article d’origine: http://www.humanite.fr/saint-etienne-la-cgt-denonce-un-proces-politique-612449

Publié par Jeunes Communistes de la Loire dans Actualités

Communiqué – URGENT

Mercredi 17 juin à 6h du matin, deux familles ont été expulsées de leur logement rue Brossard à Saint-Étienne tout près de notre local. Nous avons décidé de les héberger en attendant de trouver une solution. Seulement voilà, depuis mercredi, aucun hébergement ne leur a été trouvé. Ni le Samu, ni les associations d’aide au logement, ni les pouvoirs publics ne peuvent, ou ne veulent, débloquer la situation. Alors que faire? Pour permettre à des familles de dormir ailleurs que sur le trottoir, la seule solution est-elle d’entrer dans l’illégalité? Cette situation, c’est la réalité quotidienne de milliers de personnes en France, et en particulier de personnes immigrés. Où est passé cette France qui accueillait ceux qui fuyait le fascisme, la guerre et la pauvreté? Aujourd’hui elle les ignore, les laisse à la merci de patrons voyous, de mafias, elle les laisse dans la rue. L’arrivée du PS au pouvoir n’a rien changé. Régulièrement la Préfecture, aux ordres de l’État, évacue des squats à grand renfort de CRS, et envoie aux jeunes sans-papiers scolarisés dans notre pays des “OQTF”: Obligation de Quitter le Territoire Français.
Nous, comme d’autres militants associatifs, syndicaux et politiques, continueront de nous battre pour permettre aux personnes vivant sur notre territoire de vivre dignement. L’accès au logement est un droit, l’éducation aussi.
Si à Saint-Étienne, des personnes peuvent nous aider à trouver un logement, merci de nous contacter le plus rapidement possible.

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Soirée du Peuple : “Peut-on être heureux au travail?” – Vendredi 29 mai – 19h30 – 3 rue Brossard St Étienne

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Source d’accomplissement pour certains, et hélas trop souvent de souffrance pour d’autres, les jeunes travailleurs communistes vous invitent à réfléchir sur les rapports que nous entretenons avec le travail. Qu’il soit alimentaire, manuel, exaltant ou absent, venez échanger vos expériences personnelles avec le travail au cours d’un temps fraternel.

Un film documentaire sera projeté, suivi d’un débat en présence de :

– Dimitri Paraskévaidis : sociologue du travail, ergonome, syndicaliste

– Aurélien Désert : entrepreneur

– Morgane Martinez Pat : ingénieur en Génie Industriel / Écoles des Mines.

Nous poursuivrons l’échange autour d’un pot fraternel.

Permanence des jeunes travailleurs les lundi
de 18h à 20h au 3 rue Brossard St Étienne

Publié par administrateur dans Jeunes travailleurs

Soirée-débat: “De la loi de 1905 à la tragédie de janvier 2015: Laïcité, République, quels défis aujourd’hui ?”

Chers camarades et amis,

L’Association des Amis de l’Humanité LOIRE organise, en partenariat avec L’Union Fédérale des associations laïques de Saint-Étienne et la Ligue des droits de l’Homme, une nouvelle soirée-débat à Saint-Étienne intitulée:

“De la loi de 1905 à la tragédie de janvier 2015: Laïcité, République, quels défis aujourd’hui ?”
qui aura lieu le
Mercredi 15 avril à 18h
à l’Université Jean Monnet, en amphithéâtre E01
.

La conférence se fera en présence de deux intervenants:
• Pierre DHARREVILLE, membre de l’exécutif du Parti Communiste Français, auteur du livre La laïcité n’est pas ce que vous croyez.
• Pierre TARTAKOWSKY, président de la Ligue des droits de l’Homme.

Et sera animée par Philippe FORAY, professeur à l’Université Jean Monnet.

Voir l’évènement Facebook: ICI

Venez nombreux!

Télécharger (PDF, 150KB)

Publié par Union des Étudiants Communistes de Saint-Étienne dans Non classé

JE SUIS CHARLIE

Communiqué de l’Association des Amis de l’Humanité Loire et de la Fédération de la Loire du PCF:
Saint-Étienne, mercredi 7 janvier 2015

Un ignoble attentat

« Un choc profond et une émotion immense tels sont les sentiments qui nous envahissent à l’annonce de l’attentat au siège de Charlie hebdo.
Notre solidarité est totale envers les familles des victimes de cet ignoble attentat.
En s’attaquant à ce journal satirique, plein de talents et d’humour, c’est la liberté de la presse et la République qui sont frappées au cœur.
Dans l’attente d’informations officielles sur les auteurs de ce crime inqualifiable, commis de sang-froid, tout doit être mis en œuvre pour les identifier et les juger.
Cette tragédie intervient dans un climat délétère et de promotion médiatique d’un discours attisant les peurs, et des crispations identitaires et agressives.
Nous devons engager la résistance contre tous les ostracismes qui détruisent le vivre ensemble. Sur ces bases nous appelons au rassemblement des progressistes, des républicains pour remettre au centre de notre société les valeurs essentielles de la République.
Nous nous joignons à l’appel à se rassembler demain jeudi 8 à 18h place Jean Jaurès devant la statue de Jaurès. »

Daniel Linossier, Président des Amis de l’Humanité Loire
Vincent Bony secrétaire départemental du PCF

Publié par Union des Étudiants Communistes de Saint-Étienne dans Non classé

Communiqué de presse – Halte à la logique de la haine

Les Jeunes Communiste de la Loire tiennent à exprimer leur effroi et leur tristesse suite à l’attentat commis ce matin au siège de l’hebdomadaire Charlie Hebdo.

Nous rendons hommage aux victimes, à leurs proches, à leurs collègues, ainsi qu’à la société Charlie Hebdo.

En exécutant de sang-froid des journalistes, c’est la liberté de la presse qui est remise en cause, attaquée et bafouée. Cette liberté et ce pluralisme de presse français, déjà fortement mis à mal quotidiennement par les exigences du capitalisme, sont des nécessités au sein de notre république. En temps que Jeunes Communistes, nous sommes attachés à la liberté d’expression, d’opinion et de pensée.

Nous souhaitons que les institutions policières et judiciaires fassent la lumière sur cette sombre affaire criminelle.
Nous mettons en garde contre la rapidité de certains amalgames qui voudraient condamner la communauté musulmane française en même temps que ces trois criminels.
Ne confondons pas tout et ne propageons pas de la haine dans nos cœurs endeuillés.

Nous appelons à nous rassembler dans l’unité en hommage aux victimes et pour condamner les actes de barbarie quels qu’ils soient.

Nous étions une quarantaine de Jeunes Communistes présents ce jour, mercredi 07 janvier 2015, au rassemblement en hommage aux victimes. Nous serons présents autant de fois que nécessaire et condamneront la déformation de ce fait tragique au profit de logiques politiques répressives et liberticides.

Publié par administrateur dans Non classé